Clean Prosperity a publié le mois dernier un rapport détaillant l’écart entre les régimes d’incitation américain et canadien pour des industries spécifiques. Dans des cas tels que la capture du carbone, l’écart est relativement faible. Pour d’autres secteurs, c’est un véritable gouffre. Le document révèle que les crédits d’impôt américains pour une usine de batteries équivalent à environ 2 milliards de dollars canadiens (1,5 milliard de dollars américains) par an par rapport à ce qu’offre actuellement le Canada.
Étant donné que le gouvernement est désormais contraint par des coûts de service de la dette nettement plus élevés pour ses dépenses liées à la pandémie, M. Trudeau est contraint de choisir ses voies. Mme Freeland a reconnu que les récentes turbulences sur les marchés financiers mondiaux ajoutaient un autre vent contraire, mais elle a déclaré que le Canada se trouvait face à une opportunité générationnelle d’investir dans ses industries vertes.
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